Résumé de l'article

Jean-François Kervégan, Carl Schmitt, un théologien du droit ?
Carl Schmitt est-il un "théologien du droit" ? Cette auto-définition sert de fil conducteur à nombre d'interprétations récentes. On s'efforce ici d'en montrer les limites, d'une part en distinguant les plans de la foi et de la théologie, d'autre part en analysant l'antagonisme de la théologie et du droit dans les écrits schmittiens.

Mots-clef : religion, Schmitt
t. 38, 1993 : p. 121-127